Projet – Québec à Kingston

De Québec à Kingston

Projet d’un livre multimédia pour fins de sécurité et de formation pour les usagers du fleuve Saint-Laurent

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Contexte

Les sports nautiques et la voile en particulier sont des activités qui attirent de plus en plus d’adeptes à chaque année et pour cause puisque le Québec regorge de plans d’eaux extraordinaires ne serait-ce qu’avec la présence du majestueux fleuve Saint-Laurent.

Le fleuve Saint-Laurent n’entre pas dans la catégorie des « longs fleuves tranquilles ». Lorsque les conditions météorologiques se gâtent, le fleuve peut rapidement devenir très dangereux et mener à des tragédies qui, malheureusement, à l’occasion, entrainent des pertes de vies humaines.

Le fleuve Saint-Laurent ne doit pas être pris à la légère : on y retrouve de très forts courants qui interagissent avec les vents et les marées, des côtes escarpées qui canalisent et augmentent la force des vents, des marées qui atteignent près de six mètres et des vagues, dans l’estuaire, qui peuvent surpasser les cinq mètres.

La portion dite fluviale n’est pas en reste. Le fleuve Saint-Laurent est la plus grande voie de navigation intérieure au monde. Ce titre fait en sorte qu’on y retrouve une multitude d’usagers allant du porte-conteneur, des pétroliers, des grands navires de croisière en passant par les voiliers, les yachts, les amateurs de planche à voile, les adeptes du kayak et du canotage sans oublier les amateurs de plongée.

Le fleuve en amont de Québec se resserre de façon marquée mais on y retrouve le même trafic maritime. Les grands usagers industriels comme la Voie maritime, les administrations portuaires telles que Québec, Trois-Rivières et Montréal sont souvent confrontés avec des incidents qui impliquent souvent les plaisanciers.

Au début des années 90, les Services météorologiques d’Environnement Canada entreprennent de documenter les sites potentiellement dangereux pour la navigation lorsque le vent interfère avec la topographie terrestre, la bathymétrie et les courants marins. De ces recherches, six manuels couvrant la majorité des eaux navigables canadiennes ont alors vu le jour. Toutefois, une portion très importante fut omise soit les régions comprises entre la ville de Québec et le secteur de Kingston en Ontario.

WizVox Médias, une jeune compagnie spécialisée dans le livre multimédia, a obtenu, en 2013, les droits d’utilisation pour le volume « Les secrets du Saint-Laurent » qui avait alors recensé plus de 140 endroits potentiellement dangereux pour la navigation lorsque les conditions météorologiques interfèrent avec le plan d’eau. Cet ouvrage, grandement apprécié des navigateurs, couvre le territoire compris entre la ville de Québec et le Golfe Saint-Laurent.

Si vous avez des questions ou des commentaires, n’hésitez pas à nous en faire part.
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